Affaire Gbagbo : la CPI dans un dilemme dû à son incompétence et à son manque d’indépendance !

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L’Etat qu’un pouvoir étranger ne peut interdire à une personne, c’est son pays d’origine. Apparemment, la CPI ignore ce principe et ce droit fondamental de la personne humaine. 

 

En acquittant l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé, ex-chef du mouvement des Jeunes patriotes, deux des responsables avérés de la guerre civile et de la mort de milliers de personnes innocentes en Côte d’Ivoire entre 2010 et 2011, personnes tuées à cause de leur appartenance ethniques, la CPI de l’ancienne ministre du dictateur militaire Yaya Djamé aux années les plus sombres de la Gambie, Fatou Bensouda, s’est exposée à des critiques virulentes et a confirmé le doute qu’il ne sert à rien (Lire).

Devant les nombreuses réactions, la Cour tente de corriger un peu son tir en maintenant les deux en prison. Mais comment garder en prison quelqu’un contre lequel toutes les charges d’accusation sont annulées ? La solution trouvée des procureurs irresponsables et marionnettes de la soi-disant Cour pénale internationale (CPI) a été rendue publique ce vendredi, 01.02.2019 : ils déclarent qu’ils sont prêts à accepter la mise en liberté de l'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, acquitté il y a plus de deux semaines, à condition qu'il lui soit interdit de rentrer en Côte d'Ivoire. Ainsi, Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé doivent être libres, sans le droit de rentrer chez eux (Lire) ? Ceux qui qualifient cette Cour d’instrument politique ont-il tort ?

 

GUINEEPRESSE.INFO

 

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