Pour arriver à bout d’Alpha Condé et du RPG, il faut utiliser leurs méthodes.

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Pour obtenir son droit et du respect avec un hors-la-loi, il faut faire comme lui. En 1967, Houphouët Boigny l'a prouvé avec Sékou Touré qui détenait des Ivoiriens en otage en Guinée.

Lire : Histoire et mémoire : Houphouët, Sékou Touré et l’"affaire Kamano".

Aujourd'hui, on a les enfants des membres du régime des geôles et de la mort "sékou touré" et des enfants des amantes de Sékou Touré au pouvoir en Guinée (Lire), par la force des armes qu'ils utilisent pour tirer sur nous et nous arrêter abusivement. Si nous commençons aussi à tirer sur eux et leurs familles quand ils le feront chez nous, et à les capturer et capturer les leurs et en faire des prisonniers quand ils le font chez nous, la démocratie et le respect mutuel auraient finalement une chance en Guinée aussi. Avant cela, restons prêts à enterrer nos morts et à continuer de payer des rançons pour la libération des nôtres ou la récupération de leurs cadavres !

Aussi longtemps que l’opposition et la communauté peule en particulier continueront d’hésiter et d’avoir peur d’assumer, les « Donzos » en cravate qui pillent notre pays et qui prennent les Peuls et les Forestiers pour des gibiers auront encore de beaux jours devant eux en Guinée.

Je suis très déçu ! Les Peuls de Guinée sont devenus si faux et si poltrons que mêmes les plus fortunés et plus respectables d’entre eux sont devenus indignes de confiance. Chacun demande, comment on va sortir de cette situation et incite à des initiatives pour tenir tête aux sauvages qui tiennent notre pays en otage et qui menacent la survie même de notre peuple visiblement pris pour cible. Quand le moment décisif arrive, ils ne peuvent honorer leur engagement, ne pensant qu’à leurs petites personnes (pas prendre des risques, même vivant sur d’autres continents et restant anonyme), alors que d’autres plus démunis, se sont engagés à donner leurs vies pour la cause de tous.

Allons seulement ! Après Boké et Fria, ce sont maintenant Labé, Gaoual, Télimélé, Pita, Mali, Tougué, Lelouma, Mamou, Dalaba, Koubia et Dabola qui sont dans le viseur du régime affairiste et mafieux d’Alpha Condé. Dans la seule région de Pita, ils sont 19 villages peuls qui doivent être détruits pour l’exploitation minière au profit exclusif de Chinois et affairistes du pouvoir et leurs associés étrangers. Ils ont démarré les actions sur le terrain depuis mars dernier où ils étaient dans le village de Dikourou/sous-préfecture de Sangareya dans Pita. La délégation était exclusivement composée de Chinois et de Malinkés (essentiellement non-Guinéens) !

Test de bauxite à Labé dans le village Moloko à 15 km de Labé-centre.

Pour briser la résistance peule le moment venu, on prépare déjà un millier de combattants « Manden Djallon » dans les camps de l’Ulimo pour la récupération des terres du Fouta. Depuis l’année passée et pour le soutien au troisième mandat, le projet « Manden Djallon » est ramené à la vie sous le manteau « Union des Djalonkés ».

Si donc ce qui est en route arrive, les Peuls de Guinée qui seraient « Les palestiniens de l’Afrique » n'auraient pas été surpris, mais ils seraient victimes de leur cupidité et de leur manque de sérieux et d'esprit de sacrifice (manque de fierté). Un sort qu'ils auraient bien vu venir et qu'ils auraient laissé s'accomplir, alors que Dieu leur a donné ce qu'il faut (les hommes pour se battre et les moyens financiers) pour  repousser les malfaiteurs, défendre leur dignité et libérer notre pays des mains des bandits de grand chemin.

Ce que nous avons de nos mines avec Alpha Condé et du régime RPG :

1)-

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/04/04/en-guinee-le-boom-de-la-bauxite-laisse-un-gout-amer-aux-paysans_5445817_3212.html

2)-

https://www.franceinter.fr/environnement/guinee-main-basse-sur-les-ressources-minieres

3)-

Impact de l’exploitation de la bauxite sur les droits humains en Guinée | HRW

4)-

A Forecariyah, dans la ville des PM, les exploitants indiens déversent plutôt des cailloux dans le fleuve pour traverser que de construire un pont.

Faut-il continuer à donner du temps à ces criminels ? Si nous voulons et nous le décidons vraiment, on en finirait avec cette bande de criminels en l’espace de quatre (4) mois. Je le jure sur les tombes de mes ancêtres de Timbo !

 

SADIO BARRY
Depuis l’Allemagne

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